Médaille d’Or 2023

Décembre 2022 Nos vanilles Grands Crus obtiennent la médaille d’Or au concours 1001 DEGUSTATIONS en France.

 

L’avis de 1001 Dégustations :

Magnifiques gousses charnues, grasses et brillantes. Au toucher on sait qu’on va aimer. Des senteurs chaudes, exotiques, gourmandes et boisées. Produit d’exception. À l’ouverture, des graines ultra fines et brillantes qui ne demandent qu’à infuser dans une matière grasse. Ses saveurs fines et justes sublimeront vos crèmes, vos panacottas et toutes vos pâtisseries.

Médaille d’Or 2022

Janvier 2022  Nos vanilles grands crus obtiennent la médaille d’Or au concours 1001 DEGUSTATIONS  en France.

 

 

L’avis de 1001 Dégustations:

 

Nous sommes bluffés par ces impressionnantes gousses grasses, charnues et moelleuses qui nous invitent à la pâtisserie. À l’ouverture, la générosité parle, de nombreuses microbilles de vanille comme du caviar qui dégage des notes boisées, fumées légèrement cacaotées. Juste génial! Sans parler de l’origine Bora Bora qui vous fera voyager dans vos pâtisseries.

Médaille d’Or CGA Paris 2019

Le Concours Général Agricole

Créé en 1870, le Concours Général Agricole a pour ambition de sélectionner et de primer les meilleurs produits du terroir français et les meilleurs animaux reproducteurs.

 

Il comporte 3 grands concours :

 

  • le Concours des Animaux

 

  • le Concours des Produits et des Vins

 

  • le Concours de Jugement

 

qui se déroulent chaque année dans le cadre du Salon International de l’Agriculture.

 

Parce qu’il est organisé sous le contrôle de l’Etat et obéit à un processus rigoureux de présélections et de sélections, le Concours Général Agricole est reconnu pour sonimpartialité et la valeur des résultats

En effet, chaque année, le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation définitles règles du concours, par le règlement consultable surce site, et les Services extérieurs du Ministère (DDT) contrôlent la collecte des échantillons deproduits.

 

 

Un ambassadeur de la richesse et de la qualité du patrimoine français

Reconnu et largement médiatisé, le Concours Général Agricole constitue un tremplin unique pour les produits du terroir, les produits laitiers, les vins et une démonstration de l’excellence de la génétique française.

Pour les candidats, participer au Concours Général Agricole, c’est bénéficier d’une légitimité supplémentaire auprès de leur profession et du grand public.

Le concours en chiffres…

  • 6 espèces animales représentées : bovins, ovins, caprins, porcins, équins et canins
  • 120 races et plus de 2 000 animaux présentés
  • 1 000 éleveurs participants
  • 3 666 produits d’origine fermière, artisanale ou industrielle
  • 2 000 dégustateurs dédiés à la sélection de ces produits
  • 1 039 produits primés
  • 15 000 échantillons de vins
  • 2 000 experts
  • 3 551 vins primés

 

Présentation du concours des produits

Le Concours Général Agricole a pour ambition de sélectionner et de primer les meilleurs produits du terroir français, qu’ils soient issus :

  • de la production fermière
  • de la transformation (distillation, de fermentation…)

afin d’encourager la recherche de la qualité et stimuler la concurrence au sein de la production.
C’est un véritable ambassadeur de la richesse et de la qualité du patrimoine français.

Les spécificités du concours général agricole

  • Le Concours Général Agricole est le seul concours organisé sous le contrôle de l’Etat.
  • C’est un concours de référence, reconnu pour son impartialité, conséquence d’un processus rigoureux de présélections et de sélections et la valeur des résultats.
  • C’est le concours qui compte le plus grand nombre de candidats, d’échantillons et de catégories de produits en concours.
  • Son envergure est nationale -voire internationale en raison de la commercialisation à l’étranger des produits primés.
  • C’est également le plus ancien (créé en 1870).

Médaille d’Or 2018

Juin 2017  Nos vanilles grands crus obtiennent la médaille d’Or au concours 1001 DÉGUSTATIONS  en France.

 

L’avis de 1001 Dégustations:

Splendide et généreuse gousse de plus de 20 cm. Moelleuse et grasse au toucher, elle semble bien remplie de grains. Un parfum impressionnant de subtilité aux notes chaudes et boisées montent en nous. Quelques notes florales d’orchidée, de caramel complètent la palette. A l’utilisation (glace vanille et crème brulée), elle se révèle riche, avec de nombreux grains croquants, d’une grande longueur en bouche, aux notes chaudes et épicées. Inoubliable. Une vanille de grand cru !

A Madagascar, le prix de la vanille flambe, sa qualité se dégrade

Son prix a triplé en deux ans et sa qualité s’est dégradée. Des experts pointent une récolte décevante à Madagascar, premier producteur mondial, la spéculation et le blanchiment d’argent.

 

A Madagascar, le prix de la vanille flambe, sa qualité se dégrade

La vanille, prisée pour les glaces et confiseries, a un goût amer pour les acheteurs: son prix a triplé en deux ans et sa qualité s’est dégradée, selon des experts qui pointent une récolte décevante à Madagascar, premier producteur mondial, la spéculation et le blanchiment d’argent.

 

Madagascar, île pauvre de l’océan Indien située au large du Mozambique, assure plus de 80% de la production mondiale. En 2014, le kilo de vanille à Madagascar se vendait environ 60 dollars, avant de passer à quelque 135 dollars en 2015, puis atteindre 220 dollars actuellement.

 

La vanille est devenue tellement chère que dans certains supermarchés de la capitale Antananarivo, les gousses ne se trouvent pas au rayon épices mais près des caisses, pour dissuader les voleurs.

 

«La récolte malgache de 2015 n’a pas été excellente: environ 1.200 tonnes, contre 1.800 l’année précédente», explique Emmanuel Née, directeur du département ingrédients chez Touton, négociant français notamment en vanille.

«Mais cela ne justifie pas une hausse des prix telle qu’on l’a vue cette année», ajoute-t-il immédiatement à l’AFP. «Les opérateurs sont extrêmement spéculateurs», constate-t-il, dénonçant un marché «irrationnel».

 

«Il y a de grands opérateurs qui ont d’importants stocks et qui surenchérissent», complète Dominique Rakotoson, à la tête d’une entreprise familiale de collecte de vanille à Sambava (nord-est) et l’un des rares acteurs du secteur malgache de la vanille prêt à témoigner.

 

En raison de la flambée des prix, «plusieurs acheteurs à l’étranger ont dû annuler ou réduire leur commande», se plaint-il, alors que la moitié de la vanille malgache est exportée vers l’Europe et un tiers vers les Etats-Unis.

Des industriels dans l’agroalimentaire se posent aussi la question de recourir davantage à la vanille de synthèse, moins chère, dans leurs produits, affirme Emmanuel Née.

 

D’autant plus que la qualité de l’épice s’est dégradée ces dernières années: des producteurs cueillent la vanille alors qu’elle n’est pas encore arrivée à maturation pour profiter de la hausse des prix, mais aussi prévenir tout vol dans leur plantation.

Blanchiment d’argent

Le recours à l’emballage sous vide, alors que la vanille est encore gorgée d’eau, est également de plus en plus fréquent. «La mise sous vide interrompt le processus de séchage, ce qui détériore la qualité de la vanille», reconnaît Landry Njaka, secrétaire de la Plateforme nationale de la vanille, organisme privé malgache regroupant les acteurs du secteur.

 

Le processus complexe de préparation de la vanille – échaudage, étuvage, séchage au soleil et à l’ombre – est bâclé. «Les préparateurs sont alors obligés de refaire le travail» avant d’exporter les gousses, ce qui contribue aussi à l’augmentation des prix, note Emmanuel Née.

 

Pour lutter contre la production de vanille de mauvaise qualité, le gouvernement a récemment multiplié les annonces dont l’interdiction de l’emballage sous vide.

 

Pour marquer le coup, le gouvernement a aussi brûlé en mars 500 kilos de vanille qui n’était pas arrivée à maturité, selon la directrice du commerce extérieur au ministère du Commerce, Sylvia Pages.

 

Les autorités ont également annoncé la mise en place de brigades spéciales chargées de prévenir tout vol ou cueillette de vanille non mature, des mesures dont Emmanuel Née doute cependant de l’efficacité.

 

Mais une autre raison encore moins avouable explique la flambée des prix: le commerce de la vanille sert à blanchir l’argent du trafic illégal de bois de rose, très recherché par les Chinois pour la confection de meubles et d’instruments de musique, affirment à l’AFP plusieurs acteurs.

 

Vanille et bois de rose poussent dans la même région, le nord-est de Madagascar. L’argent illicite du trafic de bois est ainsi «réinvesti» dans le commerce légal de la vanille, ce qui alimente la spéculation sur cette épice. «C’est dans les fiefs de bois de rose qu’on trouve les spéculateurs sur le prix de la vanille», explique Dominique Rakotoson.

 

A moyen terme, la Grande Ile pourrait être elle-même victime de l’augmentation des prix. En raison de sa rentabilité actuelle, plusieurs pays comme le Vietnam, l’Inde et l’Indonésie s’intéressent de nouveau à la production de vanille.

 

Il faut compter environ cinq ans pour réaliser une première récolte. Mais une telle concurrence porterait un coup dur à Madagascar, où la filière emploie directement 200.000 personnes et a généré 192 millions de dollars en exportations en 2015.

 

 

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